La réforme des
rythmes scolaires qui vise l’allégement de l’emploi du temps de l’écolier ainsi
que son accompagnement lors des activités scolaires et périscolaires, semble
dévier de sa trajectoire première à cause des protestations des enseignants et
des représentants locaux.
Si les tous
les professionnels et partenaires de l’école parmi lesquels on trouve les
syndicats des enseignants, les associations de parents d’élèves, les
représentants des municipalités et autres associations éducatives, étaient
d’accord sur la nécessité de cette réforme, leur position est désormais confuse
à cause notamment, des coûts qu’elle pourra engendrer.
En effet,
l’emploi du temps de l’enfant n’est pas le seul qui risque d’être modifié
puisque celui des enseignants et autres partenaires éducatifs, risque d’être
chamboulé. Sans compter les dépenses en termes de transport des écoliers, et
celles engagées pour la mobilisation d’un nombre importants d’intervenants
directs dans le domaine éducatifs.
Des dépenses
supplémentaires qui provoquent une certaine réticence quant à ce changement
scolaire ainsi qu’une appréhension d’une nouvelle contrainte budgétaire.
Si le timing
pourrait être mal choisi, les avantages d’une telle réforme ne peuvent être
ignorés, étant donné qu’elle correspond au rythme biologique de l’enfant, et
qu’elle vient en aide aux élèves issus des milieux défavorisés.
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