samedi 16 mars 2013

Revirement de situation !



La réforme des rythmes scolaires qui vise l’allégement de l’emploi du temps de l’écolier ainsi que son accompagnement lors des activités scolaires et périscolaires, semble dévier de sa trajectoire première à cause des protestations des enseignants et des représentants locaux.

Si les tous les professionnels et partenaires de l’école parmi lesquels on trouve les syndicats des enseignants, les associations de parents d’élèves, les représentants des municipalités et autres associations éducatives, étaient d’accord sur la nécessité de cette réforme, leur position est désormais confuse à cause notamment, des coûts qu’elle pourra engendrer.

En effet, l’emploi du temps de l’enfant n’est pas le seul qui risque d’être modifié puisque celui des enseignants et autres partenaires éducatifs, risque d’être chamboulé. Sans compter les dépenses en termes de transport des écoliers, et celles engagées pour la mobilisation d’un nombre importants d’intervenants directs dans le domaine éducatifs.

Des dépenses supplémentaires qui provoquent une certaine réticence quant à ce changement scolaire ainsi qu’une appréhension d’une nouvelle contrainte budgétaire.
Si le timing pourrait être mal choisi, les avantages d’une telle réforme ne peuvent être ignorés, étant donné qu’elle correspond au rythme biologique de l’enfant, et qu’elle vient en aide aux élèves issus des milieux défavorisés.



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