samedi 30 mars 2013

Les Français seraient-ils fâchés avec l'anglais ?



Les Français et l’anglais ne semblent pas faire bon ménage. Cette affirmation peut sembler exagérée, généralisée ou sortie tout droit d’un esprit plus apte à émettre des préjugés que de penser.
Il n’en est rien ; ce constat a été révélé par l’actuel ministre de l’éducation nationale, dont le projet est la refondation de l’école de la République,  qui qualifie le niveau des élèves français en langues étrangères d’alarmant, surtout si on le compare au niveau des autres élèves européens évalués sur la maitrise de cette compétence.


Afin de confirmer les dires de Vincent Peillon, il serait intéressant d’évaluer le niveau des français en se référant à divers examens pouvant faire apprécier le niveau de la langue anglaise.

-          TOFEL : Outre d’évaluer la maitrise de la langue, cet examen est requis dans la plupart des universités anglaise. En 2008, les français étaient classés 69e sur 109 pays et 25e sur 43 au niveau européen.

-      Education First : Il s’agit d’une entreprise privée d’éducation qui a publié un classement mondial de la maitrise de l’anglais, dont l’échantillonnage a touché 1,7 millions d’adultes répartis sur 50 pays.  La France a été classée 15e sur 17 pays européens et 17e sur 44 pays.

-           L’enquête européenne sur les compétences linguistiques portant sur la maitrise des langues étrangères qui révèle que la France est avant dernière avec seulement 14% des élèves de 3ème qui ont un niveau « moyen ».


jeudi 21 mars 2013

La réforme Chatel



L’application de la réforme du lycée appelée réforme Chatel en référence au ministre de l’éducation qui l’a instauré, débouche cette année sur une nouveauté pour les bacheliers : 4 épreuves orales en langues vivantes réparties comme suit : deux épreuves pour la première langue, et deux pour la deuxième. 

La réforme Chatel ajoute aussi une cinquième épreuve obligatoire pour les élèves ayant choisi l’option de spécialité, qui se déroulera, elle aussi, au sein de l’établissement.
La particularité est que les élèves seront évalués par leurs propres professeurs, une décision qui ne fait pas l’unanimité surtout au sein du syndicat des enseignants du second degré.

En effet, on déplore la position inconfortable dans laquelle risquent de se trouver les professeurs lorsqu’ils noteront ces épreuves orales, et on se pose des questions quant à l’égalité devant l’examen.

Le syndicat déplore en outre la disparité des épreuves qui se déroulent à partir du mois de Février jusqu’au mois de Mai, et le manque de directives claires et de soutien matériel.

Si Vincent Peillon, l’actuel ministre de l’Education Nationale semble si préoccupé par la réforme des rythmes scolaires et l’adoption de la semaine de quatre jours et demi, il ne semble pas porter le même intérêt à la réforme Chatel, alors qu’on est en droit d’espérer une éventuelle réorganisation du bac, une modification de ladite réforme ou la prise en compte du contrôle continu dans le calcul de la moyenne finale de l’examen de baccalauréat.


samedi 16 mars 2013

Revirement de situation !



La réforme des rythmes scolaires qui vise l’allégement de l’emploi du temps de l’écolier ainsi que son accompagnement lors des activités scolaires et périscolaires, semble dévier de sa trajectoire première à cause des protestations des enseignants et des représentants locaux.

Si les tous les professionnels et partenaires de l’école parmi lesquels on trouve les syndicats des enseignants, les associations de parents d’élèves, les représentants des municipalités et autres associations éducatives, étaient d’accord sur la nécessité de cette réforme, leur position est désormais confuse à cause notamment, des coûts qu’elle pourra engendrer.

En effet, l’emploi du temps de l’enfant n’est pas le seul qui risque d’être modifié puisque celui des enseignants et autres partenaires éducatifs, risque d’être chamboulé. Sans compter les dépenses en termes de transport des écoliers, et celles engagées pour la mobilisation d’un nombre importants d’intervenants directs dans le domaine éducatifs.

Des dépenses supplémentaires qui provoquent une certaine réticence quant à ce changement scolaire ainsi qu’une appréhension d’une nouvelle contrainte budgétaire.
Si le timing pourrait être mal choisi, les avantages d’une telle réforme ne peuvent être ignorés, étant donné qu’elle correspond au rythme biologique de l’enfant, et qu’elle vient en aide aux élèves issus des milieux défavorisés.



jeudi 7 mars 2013

Les règles pour améliorer sa prononciation en Anglais



Afin de bien se faire comprendre de son interlocuteur et par respect pour la langue étrangère qu’on pratique, on doit pouvoir prononcer correctement ses termes.

On remarque que bon nombre de personnes n’y accorde pas d’importance, l’essentiel étant de faire passer le message ou de finir une présentation.

Si on prend le cas de la langue de Shakespeare, on note que beaucoup de Français la prononce mal. Pour combler cette lacune, il faut tout d’abord s’armer de patience, de persévérance, et suivre les règles suivantes :

1-    Être attentif et habituer ses oreilles à entendre correctement tous les mots étrangers, étant donné qu’on ne peut prononcer correctement des termes qu’on n’entend pas, ou mal.

2-    Ne pas hésiter à consulter le site Howjsay.com en cas de doute sur la prononciation d’un terme en anglais

3-    Youtube peut être un sérieux atout pour les personnes qui ne vivent pas dans un environnement multiculturel. Le site propose une multitude de vidéos postées par des gens désireux de faire connaitre cette belle langue.

4-    Préférer « DE » ou « VE » au tristement célèbre « ZE » pour prononcer le mot « THE »

5- Opter pour la prononciation la plus simple parmi la prononciation Britannique, Américaine ou l’Australienne/Néo-Zélandais.  Les perfectionnistes pouvant adapter leur prononciation en fonction des auditeurs.

6-    Préférer la version originale Anglaise en regardant des films, des séries ou des documentaires, ou des versions sous-titrées en Anglais.

7-    S’entrainer tout en évaluant sa capacité d’écoute sur le site Manythings.org/pp

8- Pour les utilisateurs du navigateur Google Chrome, utiliser l’extension Google Dictionnary qui offre aussi bien la définition que la prononciation en Anglais.

9-  Pour ce qui peuvent ce le permettre, faites appel à un professeur particulier en anglais et c'est sur que vous allez vous améliorer.